Les rives de la sorcellerie
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Les rives de la sorcellerie

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 l'histoire du jeu de rôle

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Tinuviel
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MessageSujet: l'histoire du jeu de rôle   l'histoire du jeu de rôle EmptyVen 27 Juil - 16:55

Voici ici le récapitulatif de l'histoire pour que vous puissiez rapidement suivre l'histoire. Pour continuer le jeu c'est ici


Histoire



1506, en cette nouvelle année, les flammes montaient haut dans le ciel provoquant l'attroupement des paysans.
Un bûcher sacrifiait encore une fois une bonne poignée d'humains pas même sorciers. Une injustice parmi tant d'autres mais la peuplade restait persuadée de l'intelligence de l'acte et regardait sans aucune tristesse ces femmes et enfants qui se consumaient peu à peu dans les hurlements.
Les soldats surveillaient d'un regard vide toute possibilité de rébellions. Une des petites filles blondes qui mourait dans les flammes restait en silence comme elle l'avait promis à sa mère à ses côtés. Jamais ils ne supplieraient pour leur bonheur avait fait promettre la mère d'un air décidé avant d'aller vers sa mort.
De loin un petit groupe surveillait d'un regard triste toutes ces morts inutiles et se dispersèrent rapidement, ne voulant pas se faire remarquer. Parmi eux un homme était resté et regardait en pleurant ces êtres mourir.

Il entendit soudain un bruit au loin, un groupes d'hommes et de femmes sorti de la forêt toute proche. La personne qui était à leur tête était couverte de la tête aux pieds par une grande toge sombre. Elle portait un grand livre dont la couverture reflétait les flammes du bûcher tout proche. L'homme resta silencieux face à ce spectacle inouï. En arrivant à hauteur de la foule, ils s'écrièrent tous ensemble: "Ecartez vous et laissez passer le coven d'Urmaïne!". La foule fixa alors avec horreur ce groupe mais s'écarta tout de même, personne n'aurait pu dire si ils le firent de leur plein grès ou si ils y eurent été contraints. Le coven d'Urmaïne forma alors un cercle autour du bûcher, ils s'agenouillèrent et la personne camouflée ouvrit le livre.

Un grand silence se fit, la personne camouflée enleva sa toge et montra à tous un visage souverain.
La femme était rayonnante. De longs cheveux roux descendaient en cascade. Dans toute sa nudité elle apparaissait d'une beauté naturelle.
Le vent fit entendre une douce musique venant de nul part et la sorcière dévêtue entama un chant sacré apportant la paix de l'esprit aux sacrifiés. Le groupe joignirent leur voix à la sienne et sous le regard stupéfait de la foule le chant s'éleva haut dans les nuées.

Soudain un long hurlement interrompit la mélodie. Un homme accourut vers le bûcher, les larmes qui s'écoulaient sur ses joues reflétaient les flammes, ses yeux devinrent rouges comme le feu lorsqu'il arriva à proximité des flammes... Il s'agenouilla et regarda le bûcher... puis il marmonna: "Je jure de te venger ma chère femme...ceux qui t'ont punis périrons par ces même flammes. Je ne trouverai mon repos que lorsqu'ils seront tous effacés de cette Terre..."...
Entendant ces paroles, la femme qui dirigeait le coven s'approcha de l'homme, elle lui marmonné quelque chose à l'oreille et reprit sa place. L'homme pris place dans le cercle et s'agenouilla à son tour le regard tourné vers le bûcher. La maîtresse du coven entama alors une incantation et sa voix raisonna aux alentours, le coven répéta ces paroles en même temps qu'elle, en ne détachant pas son regard du bûcher... La dernière femme vivante rendit son dernier souffle...le feu perdit en intensité quand soudain...

Les juges responsables de ce sacrifice firent leur apparition, leurs visages froids fixèrent tout d'abord le groupe réunis autour du bûcher avec un sentiment de dégoût. Puis leurs regards glissèrent lentement sur les flammes qui mouraient peu à peu; un sourire victorieux étira les lèvres de celui qui se tenait devant les autres en adoptant une attitude royale.
Les membres du coven le dévisagèrent avec un mélange d'effroi et de surprise; l'homme à la barbe saillante leva brusquement les mains...

Un éclair zébra le ciel, projetant violemment le juge en arrière.
Le groupe prit alors la fuite, laissant les villageois éberlués.

- A mort les sorciers ! Se mirent-ils enfin à hurler.

La grande femme était restée en arrière et remit sa longue cape qui l'enveloppa entièrement. Elle fixa tous ces hommes et eu un sourire paisible.

Une belle enfant apparu, un beau visage et des yeux tristes; personne ne le savait encore mais cette jeune fille allait bientôt bouleverser l'avenir de toute la planète puisqu'il s'agissait en fait de la dernière souveraine de la grande lignée royale des Hakmoon, légendaire famille de mages guerriers et uniques détenteurs de milliers d'hectares de l'immense domaine des "Terres de la Vie", et ce perdurant depuis des siècles et des siècles...

Cette jeune fille n'était en fait nul autre que Amnaa hognyhiro...

Le juge ordonna aux soldats postés inutilement autour du bûcher de s'emparer de cette démone aux cheveux rougeoyant. Ces derniers hésitèrent, devant la beauté de cette sorcière. La cascade de boucles sur son corps enveloppé de cette cape sombre les faisait reculer, une sueur glacée dans le dos. La jeune fille aux loups s'était immobilisée à l'Orée des bois. Lorsque l'ordre fut lancé, les loups grognèrent et furent prêt à s'élancer, pour défendre cette femme, qu'il sentait comme amie et allié pleine de confiance. Une main invisible les retint, qui n'était autre que l'esprit d'Amnaa. Née avec les loups, ces derniers étaient son frère et sa soeur et un lien mental d'une force et d'une pureté incroyable s'était installé entre eux trois. Les soldats se rapprochaient lentement, lances en avant. Le juge leurs lança une nouvelle fois l'ordre d'attaquer, voyant ses guerriers hésiter, il prit lui même une lance arrachée à un de ses hommes et s'approcha des flammes, pointant son arme en direction de la gorge de la sorcière, une lueur d'envie malsaine dans le regard en souvenir de cette nudité dévoilée.

"Arrière Démone, tu n'est pas la bienvenue ici, rends toi, et rejoins tes camarades sur les flammes de la reddition ou périt de ma main"

Un vent glacé se leva soudainement, faisant tournoyer les cheveux flamboyant de l'agressée, puis virevolter sa cape.

Un cri déchira le silence imposé par le vent glacé, tous les regards se portèrent sur cette jeune fille entourée d'une meute aux loups. Ses yeux flamboyaient comme des braises rougeoyantes. Un halo d'une pureté infinie l'environna de toutes parts. Les loups hurlèrent. Les soldats s'étaient figés. Le juge, jusque là paralysé par cette apparition qu'il jugeait être celle de Dieu, reprit rapidement ses esprits. Lance en main il se retourna vers la femme pour la contraindre au bûcher, et constata avec stupeur que celle-ci avait disparu. L'homme hors de lui hurla de rage et reporta son attention sur la fille aux loups qui sourit avant de regagner le couvert des arbres.

Un homme encapuchonné eut un maigre sourire avant de se faufiler telle une ombre dans la foule.
Il portait une longue cicatrice sur la joue gauche, le visage très souvent dur aux mâchoires solides, pour une fois souriant malgré les événements présents.
L'homme qui se dénommait Arzhael frôla une des personnes se trouvant devant le bûcher sans que celui-ci ne s'en aperçoive.
Puis il marcha un long moment avant de retrouver à l'abris sous les arbres. Il contempla le spectacle inouïe de ces hommes d'église perturbés par... il réprima un rire. Sûrement la nudité de sa femme. Décidemment il serait bon qu'il commence davantage à s'occuper de son épouse et de son enfant car ils semaient de plus en plus le trouble lors des bûchers.
Cette fois son sourire disparu lorsqu'il réalisa qu'il allait encore être la risée des autres sorciers, lui qui capable d'ensorceler n'importe qui, ne pouvait avoir de pouvoir sur sa famille.
Décidant qu'il en toucherait un mot à sa femme pour exiger son calme, il chercha à se transplaner vers leur abri secret où une réunion d'urgence avait été proclamée.
Des sorciers l'accueillirent en ricanant, sa femme au fond de la pièce lui sourit, le sourire qui a lui tout seul le désarmé pour quelconque reproche. Les salutations et boutades de ces camarades étant fini ils décident donc de commencé la réunion, le feu crépité dans cette abris qui s’apparenté a une crotte les murs été de pierres aucune fenêtres ni porte été visible.
Un homme pris la parole dans le groupe.

« Mes amis je crains que après une telle intervention de la part de notre coven (le regarde se tourna vers les femmes de la pièce) Nous soyons obligé de rentré en conflit direct maintenant »

Tous étaient d’accord. Arzhael invita sa femme à prendre la parole :

«Il est vrai, il est peu être temps, ses buchés ne peuvent durer ainsi, ils tuent nos familles, nos mères, nos père, nos enfants, nos familles...
Il est grand temps d’organisé la contre attaque il est temps de faire marché la règle des 3 retours...

Tout le monde applaudis c’est parole. Au même moment Amnaa arriva :
« Père, mère, ils ont rassemblé les villageois et les on monté contre nous ils ont décidés de ratissé la forêt ils n hésiteront pas tous brulé si il le faut...
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