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| dieux et déesses | |
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Tinuviel Créatrice du forum, je suis à votre service
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| Sujet: dieux et déesses Mar 2 Mai - 16:01 | |
| Apollon Apollon est l’une des principales divinités grecques. C’est le dieu de la lumière, des arts et de la divination. On n'est pas d'accord sur l'origine du culte. Les uns le font venir d'Orient, d'autres le croient purement grec. D'ailleurs les anciens eux-mêmes connaissaient plusieurs Apollon. Aujourd'hui, on tend à distinguer un Apollon dorien et un Apollon ionien ; mais leurs légendes se sont mêlées. Apollon est fils de Zeus et de Léto. Il naît à Délos où sa mère, poursuivie par la jalousie d'Héra, avait trouvé refuge. Ses fonctions sont très variées. Il est le dieu de la lumière, et conduit le char du soleil. C'est aussi un dieu agricole à Amyclées et en Arcadie. C'est le dieu des purifications, le dieu vengeur qui déchaîne les épidémies, le dieu protecteur, le dieu médecin, le dieu des arts, surtout de la poésie et de la musique, le dieu de la divination. Nombreux aussi sont ses surnoms ou ses épithètes : Phoibos le brillant, Pythios ou Pythoktonos le vainqueur du dragon, Hékatébolos qui frappe de loin, Argurotoxos à l'arc d'argent, Alexicacos le secourable, Iatromantis le médecin devin, Musagète le conducteur des Muses,… ------------------------------------------------------------------------------------- Aradia C'est la reine des sorcières, fille de Diane. Elle est très puissante et est souvent utilisée pour la protection d’un sorcier. Extrait d’Aradia ou l’évangile des sorcières
COMMENT DIANE DONNA NAISSANCE A ARADIA (HERODIA)« C’est Diane, regardez ! Son étoile se lève » (Keat’s Endymion) Faites plus de lumière La Reine étoile entre dans sa nuit de noces » (Ibid) Ceci est l’évangile (vangelo) des sorcières Diane aimait profondément son frère Lucifer, le Dieu du Soleil et de la Lune, le Dieu de la Lumière (Splendor) qui était si fier de sa beauté que cela lui avait valu d’être expulsé du paradis. De son frère Diane eut un enfant, une fille, à qui elle donna le nom de Aradia (Herodias) En ce temps là, sur la terre, vivaient beaucoup de riches et beaucoup de pauvres. Les riches faisaient des pauvres leurs esclaves. En ce temps là il y avait beaucoup d’esclaves, qui étaient durement traités. Dans chaque palais des tortures, dans chaque château des prisonniers. Beaucoup d’esclaves s’échappaient. Ils s’enfuirent vers une contrée où ils devinrent des voleurs et des hommes mauvais. La nuit, au lieu de dormir, ils fomentaient des plans, volaient leurs anciens maîtres et les tuaient. Ils sillonnaient les montagnes comme voleurs et assassins, et cela uniquement pour échapper àl’esclavage. Un jour Diane dit à sa fille Aradia : « En vérité tu es une immortelle Mais tu es née pour redevenir mortelle Il faut que tu descendes sur terre Enseigner aux hommes et aux femmes Qui voudront apprendre l’art de la sorcellerie dans ton école Mais tu ne dois jamais devenir comme la fille de Cain Ni comme cette race Qu’elle a laissé devenir amère et vulgaire Telle que les juifs et les zingaris errants Qui tous sont des voleurs et des malfaisants, telle qu’eux Tu ne dois pas devenir Et tu seras la plus grande des sorcières Et ton nom sera connu sur la terre entière Et tu enseigneras l’art de l’empoisonnement Pour empoisonner quiconque se serait cru au-dessus des autres Oui, dans leurs palais tu dois les faire mourir Et tu emprisonneras l’âme des dictateurs (avec ton pouvoir*) Et si tu trouves un paysan qui serait riche Alors tu devras apprendre à la sorcière, ton élève, Comment elle pourra détruire toute sa récolte avec des orages, Avec les éclairs et le tonnerre (effrayant) Avec la grêle et la tempête… Et si un prêtre devait te nuire Avec des incantations, alors tu dois lui Rendre tout cela en double, et cela en Mon nom, Daine (comprendre Diane), Reine de toutes les sorcières ! ------------------------------------------------------------------------------------- Artémis Appelée Diane par les Romains, Artémis est la fille de Zeus et de Léto. Elle naquit dans l'île de Délos le même jour qu' Apollon, son frère jumeau, auquel elle emprunte bien souvent les traits de caractères et les attributs. Armée de flèches, elle tue impitoyablement ceux qui, d'une manière ou d'une autre, ont osé insulter sa personne divine et celle de sa mère, notamment les enfants de Niobé, et Orion, qui avait tenté de la séduire. D'une manière générale, elle responsable des morts soudaines : ses flèches sont toujours précises, foudroyantes de rapidité et mortelles ; comme Apollon, elle se trouve aux côtés des Troyens contre les Grecs et oblige Agamemnon, coupable de s'être vanté de la surpasser au tir à l'arc, à sacrifier Iphigénie, qu'elle sauve à la dernière extrémité. Belle, chaste et vierge, ombrageuse et jalouse de ses talents de chasseresse, elle punit Actéon, qui prétendit la surpasser, en le transformant en cerf et le faisant dévorer par ses chiens. Dans le monde antique, on connaît plusieurs Artémis. Ainsi, en Tauride, on adorait une Artémis, cruelle déesse montée sur un char traîné par deux taureaux. Elle portait un flambeau à la main, et son front était surmonté d'un croissant de lune. On lui sacrifiait les étrangers. Oreste, grâce à sa sœur Iphigénie, put s'enfuir et échapper à cette sauvage coutume. Une autre Artémis, celle d'Éphèse, diffère de la déesse traditionnelle : en effet, loin de se refuser à l'amour, elle s'y livre sans retenue et nourrit, grâce à ses multiples mamelles gonflées de lait, les hommes et la terre. Cependant, malgré toutes ces confusions, l'Artémis grecque demeure la chasseresse et la chaste, et c'est sous ces traits et ces attributs qu'elle figure dans la plupart des légendes. ------------------------------------------------------------------------------------- Brigid Brigantiâ dans l’antiquité, Brigit en vieil irlandais et moyen irlandais, Brighid en irlandais moderne avant 1950. Brid depuis 1950. Brighid ou parfois Brigit ou Brighit ou Bride ou Brigando en gaule , elle est la Triple Brigit , mère de tous les dieux , la " Déesse mère par excellence" , la trois fois Muse , la poétesse , à la fois mère et fille du Dagda, la triade révérée par les poètes , les médecins , les forgerons, déesse de la poésie, de la santé, de la forge, englobant ainsi les trois fonctions de type indo-européen. Son Culte fut particulièrement étendu en Irlande et en Grande Bretagne où elle était plus connue sous le nom de Brigantia. Dans la mythologie irlandaise, elle était l'épouse de Bres le dieu mi-fomorii qui fut le chef des Tuatha de Danann après la première bataille de Magh Tuireadh contre les Firbolg. Bres était beau mais tyrannique et son règne fut donc de courte durée. Brigid, cependant, lui donna trois fils : Brian, Iucharba, Iuchar, la triade divine, tous trois fils de Dana. Elle a comme équivalents, Belisama la Gauloise et Kerridwen la Galloise. Elle fut souvent rapprochée de sa mère Anu, ce qui incite à penser qu'elles représentaient probablement des aspects différents de la même déesse mère. Sainte Brigitte ou Sainte Bride, l'une des saintes patronnes de l'Irlande fut peut-être une prêtresse de la déesse Brigid avant sa conversion au christianisme. On prétendait qu'elle pouvait nourrir les animaux sans diminuer pour autant la nourriture des hommes, ce qui la rattache à Brigid, que l'on célébrait lors de la fête celte d'Imbolc le 1er février, période de lactation des brebis. ------------------------------------------------------------------------------------- Cernunnos Cernunnos (ou Kernunnos), dont le théonyme signifie le « Cornu », serait d’origine préceltique et remonterait à la civilisation des mégalithes. On le retrouve dans les représentations sanscrites (personnage à cornes, assis en tailleur). Celtisée, cette importante divinité gauloise est parfois assimilée au Dis Pater, le père de tous les Celtes selon Jules César. Généralement représenté pourvu de bois de cerf où sont accrochées des torques, assis en tailleur, à la manière "bouddhique". Il tient un sac de pièces qu’il répand ou un panier plein de nourritures, deux représentations de l’abondance. Il est le dieu des morts et de la richesse. Les bois symbolisent la puissance fécondante et les renouvellements cycliques, ils repoussent pendant la saison claire de l’année celtique ; il est souvent entouré d’animaux, ce qui en fait un Maître du règne animal. Le serpent à queue de dragon ou à tête de bélier lui est associé. Cernunnos est l’incarnation du Savoir divin, c’est un démiurge, le créateur de la Pensée. À la fin de l'hiver, il devient l'amant de la déesse-mère, dont il partage les faveurs avec Esus. Il est notamment représenté sur le Chaudron de Gundestrup (récipient cultuel datant du I er siècle av. J.C.) et sur le Pilier des Nautes de Lutèce (monument élevé par la corporation des Nautes, sous le règne de Tibère 14-37 apr. J.C.) ------------------------------------------------------------------------------------ Hadès Hadès était le fils de Cronos et de Rhéa, à qui échut le monde souterrain où vont les ombres des morts. Il régnait avec sa femme Perséphone sur les Enfers et les morts. Ce n’était pas un dieu monstrueux mais simplement implacable et inflexible dont le simple nom était déjà de mauvais augure c' est pourquoi on utilisait très fréquemment un surnom ou un euphémisme pour le désigner. Plus tard, il fut aussi considéré comme un dieu bienfaisant, dispensateur de la richesse agricole (Ploutôn, celui qui enrichit), d' où sa corne d’abondance. Il fut identifié avec Sérapis ptolémaïque et avec Pluton romain. Il était coiffé d’un casque fabriqué par les Cyclopes qui rendait invisible tous ceux qui le portaient. Il lui arrivait de le prêter à des mortels comme à Persée quand il alla voir Méduse ou à des dieux comme Hermès quand il combattit les Géants ou Athéna lors du siège de Troie ce qui lui permit de ne pas se faire voir d’Arès. Il est souvent représenté avec une lance à deux dents à la main. Il faut ajouter deux (ou quatre) chevaux bleu nuit qui lui servirent à enlever sa future femme. Hadès intervient rarement dans les légendes. En effet, peu de mortels se hasardèrent à lui rendre visite : - Thésée et Pirithoos, ce dernier avait conçu l’extravagant projet d’enlever Perséphone. Hadès les invita à sa table mais dès qu’ 'ils furent assis sur les "chaises de l’oubli" des serpents se lovèrent autour de leurs chevilles pour les empêcher de se lever à jamais. Thésée fut délivré bien plus tard par Héraclès (Hercule). - Orphée pour chercher sa femme Eurydice - Héraclès par capturer Cerbère - Ulysse pour interroger Tirésias - Enée pour demander conseil à l’ombre de son père Anchise. Les immortels aussi n’aimaient se rendre dans son royaume lugubre, exception faite d’Hermès qui était chargé de conduire les âmes aux Enfers et qui servait de messager. De plus il sortait rarement de son royaume: Une fois pour l’enlever Perséphone et une autre fois pour se faire soigner sur l’Olympe la blessure infligée par une flèche d’Héraclès. Enlèvement de Perséphone :Hadès enleva Perséphone, avec l’accord de Zeus, alors qu'elle était en train de cueillir des fleurs en compagnie de nymphes dans la plaine d'Enna (Sicile). Déméter la chercha partout sur la terre et déchaîna une grande famine. Zeus fut alors obligé de tenter une réconciliation et ordonna à son frère de rendre Perséphone à sa mère avant que la terre entière ne soit morte de faim. Il envoya Hermès porter le message à Hadès. Ce dernier fut d' accord de la laisser partir à condition qu’elle n’ait pas encore goûté la nourriture des Morts. Et comme Perséphone n’avait rien mangé depuis son enlèvement, Hadès, contraint de respecter les conseils de son frère, dissimula son dépit et la renvoya vers sa mère. Les larmes de Perséphone cessèrent immédiatement de couler. Mais juste au moment où elle se mettait en route pour Eleusis, un des jardiniers d' Hadès, du nom d'Ascalaphos, rapporta à Hadès qu’il l’avait vu cueillir une grenade et en manger sept grains. Perséphone avait mangé la nourriture des Enfers et devait rester éternellement dans le sombre royaume. Zeus intervint à nouveau et proposa à Perséphone de passer trois mois de l’année aux Enfers et neuf mois sur la Terre. Ce qui fut accepté. Selon Ovide et Strabo, Hadès tomba amoureux de Mintha ou Mentha, la nymphe du fleuve des Enfers, le Cocyte. Mais cette liaison déplut fortement à Perséphone qui piétina la malheureuse Mintha. Hadès (ou Perséphone elle-même) la transforma en plante : la menthe Leuce. Une autre nymphe fille d'Océan, fut enlevée par Hadès et changée par Perséphone (ou Hadès) en peuplier blanc.
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| Sujet: suite Mar 2 Mai - 16:03 | |
| Hécate Originaire de Thrace, fille d’Astéria et du Titan Persès, elle apparaît comme une divinité polyvalente, une déesse tricéphale (une tête de lion, une de chien et une de jument, symbole des trois phases de la lune, des trois niveaux de l’évolution vitale, un aspect terrifiant de la Terre-Mère. Elle est parfois assimilée à la terrible Artémis, ou à Perséphone, divinité du monde souterrain qui est le séjour des morts. C’est la déesse des morts mais pas comme Perséphone, l'épouse d'Hadès. Elle préside aux apparitions des fantômes et aux sortilèges : c'est elle qu'évoquent les magiciens. On la dessine tenant à la main des torches, accompagnée de juments, de chiens et de louves. Ses pouvoirs sont redoutables surtout la nuit, à la trouble lumière de la lune avec laquelle elle s'identifie. Maîtresse de l'ombre, elle suscitait les cauchemars (on appelait hécatées, les fantômes qui se manifestaient pendant les fêtes de la déesse) et terreurs nocturnes (symbole des désirs secrets ou refoulés dans l'inconscient). Elle avait pour compagnes les Erinnyes (personnification des remords de conscience). Les peupliers noirs lui étaient consacrés. Elle est liée aux cultes de la fertilité. Elle présente deux aspects opposés; l'un d'eux est bienveillant et bienfaisant : elle préside aux germinations et aux accouchements, elle protège les navigations maritimes; elle accorde la prospérité, l'éloquence, la victoire, les moissons et les pêches abondantes, elle guide vers la voie des purifications. En revanche, son autre aspect redoutable et infernal : elle est la déesse des spectres, des terreurs nocturnes, des fantômes et des monstres terrifiants. Elle est la magicienne par excellence, la maîtresse en sorcellerie. On ne la conjure que par des incantations, des philtres d'amour ou de mort. Elle relierait les trois étages du monde: les enfers, la terre, le ciel. On lui élevait des statues (hécatées) ou des autels aux carrefours, auprès des tombeaux ou sur les lieux des crimes, où la déesse magicienne se livrait à des opérations de magie et de divination. A Athènes, elle était considérée comme une déesse lunaire liée aux cultes de la fertilité, la déesse des accouchements, la protectrice de la germination et des moissons qui accordait la richesse matérielle et spirituelle, les honneurs et la sagesse. Selon Hésiode, elle procurait l'inspiration, la victoire, la gloire, assurait bonne chasse, intervenait dans les courses de chevaux, assurait la prospérité des troupeaux selon son caprice. Elle était aussi la conductrice des âmes emportées par la tempête. Hécate était vénérée à Egine, à Samothrace... Lors des hécatésies, en Asie Mineure, on lui immolait des chiens et des mystères étaient célébrés en son honneur. On donna son nom à une planète télescopique découverte en 1868. Prière à Hécate :Ô Hécate, Déesse dans les cieux, Déesse sur la terre et Proserpine aux enfers, Ô Mère des ombres, reine suprême de l'armée des morts Ne lance pas contre moi tes légions, Ô Hécate fait plutôt qu'elles me servent. Ô triple Hécate, grande déesse qui procède aux enchantements, Que ta divinité vienne à moi, que ta puissance m'environne, le ciel n'en sera point offensé ! Impermanence, tout est impermanence. La queue se dresse pour retomber, la femme ne s'emplit que pour se vider en une convulsion qui ébranle le monde, la poétesse croît et ne devient voix que pour perdre cette voix quand la mort la saisit. Hécate je viens à toi au milieu des larmes, des abandons, des vents hurlants. Autour de mon cou, je noue les herbes de la sorcière pour exorciser l'impermanence, notre lot commun. Ô Hécate, apprends-moi à louer la dépossession, la mort et la fugacité de tout car avec ce flux je sais que coulent tes bienfaits.---------------------------------------------------------------------------------- Nouveau, ajouté le 11 maiIsis Déesse égyptienne dont le nom signifie "trône". Fille de Geb et Nout selon la généalogie Heliopolitaine. Soeur et femme d'Osiris. Mère d'Horus. Elle a été dépeinte dans la forme humaine, couronnée ou bien par un trône ou bien par des cornes de vache incluant un disque de soleil. Un vautour était aussi parfois incorporé en sa couronne. Elle est parfois dépeinte comme un cerf-volant au-dessus du corps momifié d'Osiris. Comme personnification du trône, elle était une source importante du pouvoir du pharaon. Son culte était populaire partout dans l'Egypte, mais les sanctuaires les plus importants étaient à Giza et à Behbeit El-Hagar dans le delta du Nil. Isis plus tard eut un culte important dans le monde Gréco-romain, avec des sanctuaires à Delos et Pompeii. Son épithète latine était Stella Maris, ou "l'étoile de la mer". Isis, comme la mère d'Horus, était par l'extension considérée comme la mère et protectrice des pharaons. Le rapport entre Isis et Horus devrait aussi influencer la conception Chrétienne du rapport entre Marie et l'enfant en bas âge Jésus Christ. La description de la tenue assise ou l'allaitement l'enfant Horus est peut-être à l'origine de l'iconographie de Marie et Jésus. Légende Isis a retouvé et a rassemblé le corps d'Osiris après son meurtre et démembrement par Seth. Dans ce rapport elle a pris le rôle d'une déesse des morts et de rites d'obsèques. Isis s'est imprégné du cadavre et a par la suite donné naissance à Horus. Elle a enfanté dans le secret à Khemmis dans le delta du Nil et a caché l'enfant dans les marais de papyrus. Horus plus tard a défait Seth et est devenu le premier dirigeant d'une Egypte unie. ------------------------------------------------------------------------------------ Jupiter Dieu romain assimilé à Zeus, Jupiter est le grand dieu par excellence du panthéon romain. De même que Zeus, il apparaît comme la divinité du ciel, de la foudre et du tonnerre. Il règne à Rome sur le Capitole, qui lui est spécialement consacré, et où il est l'objet de plusieurs cultes. Le plus célèbre, qui finit par éclipser les autres, est celui qui consacre la toute-puissance et la suprématie de ce dieu des dieux. Avec le développement et l'affermissement de l'armature politique de la cité romaine, Jupiter devient le représentant du pouvoir suprême, le président du Conseil des dieux, de qui émane toute autorité. C'est à lui que les triomphateurs portent en procession solennelle leurs couronnes et consacrent les victimes rituelles. Jupiter est le garant des traités de paix, il préside aux relations internationales, par l'intermédiaire du collège des féciaux. Ses surnoms de Victor, Invictus, Stator, Triumphator se rapportent à ses fonctions politiques et militaires. On consacre à son sanctuaire les dépouilles prises aux ennemis. Avec l'Empire, les empereurs se placent volontiers sous la protection de Jupiter, dont certains prétendent être l'incarnation. Auguste, par exemple, prétend avoir des songes directement envoyés par le dieu, et il raconte volontiers comment il a été sauvé par l'intervention miraculeuse de la foudre, lors de la guerre qu'il menait en Espagne contre les Cantabres. Plus tard, Caligula s'arroge les deux surnoms de Jupiter Tonnant, Optimus Maximus, et il relie son palais du Palatin au sanctuaire capitolin du dieu par un passage discret. Dans chaque cité provinciale, le premier soin des architectes romains est d'élever un Capitole semblable à celui de Rome, où ils installent la triade (Jupiter, Junon et Minerve), au milieu de duquel trône Jupiter. Ainsi, le dieu représente le lien politique entre la cité mère et les cités filles, qui en sont l'image réduite mais fidèle. Jupiter a d'autres attributions: il est le protecteur de l'hospitalité, le dieu purificateur, le prophète, maître des songes, des oracles. Divinité agricole, il est le dispensateur de la pluie, maître de la fertilité, et, avec Junon, il préside au mariage et assure la fécondité des liaisons légitimes. Divinité solennelle, il ne connaît pas la passion de celui-ci pour les mortels, il est loin des problèmes des hommes. Dieu d'apparat, officiel, il est de moins en moins présent dans l'imagerie mythologique populaire. Il subit ainsi la mutation de tous les dieux olympiens qui deviennent à Rome les représentants du seul pouvoir officiel, gagnant en splendeur ce qu'ils perdent en humanité. ------------------------------------------------------------------------------------- Mars Mars incarne la force brutale. Tous les peuples de l'Antiquité l'adoraient. Dieu de la guerre, fils de Jupiter et de Junon, il avait, sous le nom d'Arès, des autels dans toute la Grèce. On raconte que Mars, cité devant les dieux par Neptune dont il avait tué le fils, fut acquitté par ses juges, réunis sur une colline près d'Athènes. En souvenir de ce fait mémorable, les Grecs donnèrent à leur tribunal, installé au lieu même où Mars fut jugé, le nom d'Aréopage signifiant colline de Mars. Ce même nom de Mars fut donné plus tard à l'un des jours de la semaine, le mardi ; à l'une des planètes que connaissaient les Anciens, et enfin au métal, le fer, qui servait à fabriquer les armes de guerre. Le mois de mars était symbolisé par un homme vêtu d'une peau de louve, en souvenir de la nourrice de Romulus. Le dieu Mars était représenté sous la figure d'un guerrier terrible. Le coq, symbole de vigilance, lui était consacré. On sacrifiait sur ses autels des loups et quelquefois des victimes humaines. Dans les combats, il était accompagné de ses fils Phoibos et Déimos (la Crainte et l'Effroi) qui attelaient et conduisaient son char, ainsi que d'Eris (la Discorde), sa compagne et sa sœur, qui se tenait à ses côtés. Mars, dieu de la guerre, est parfois confondu avec la déesse Bellone qui avait à Rome même un temple célèbre. C'est dans ce temps qu'étaient reçus les généraux vainqueurs, qu'on donnait audience aux ambassadeurs. A la porte du temple était une colonne contre laquelle le héraut, c'est-à-dire l'officier public chargé de déclarer la guerre, lançait une pique pour annoncer que la guerre venait d'être décidée. Les prêtres de Bellone, les bellonaires, célébraient les fêtes de la déesse en se perçant la poitrine avec leurs épées et en lui offrant le sang qui sortait de leurs blessures. Ces fêtes avaient lieu le 24 mars, et ce jour-là portait dans le calendrier le nom de jour de Sang. On raconte qu'à Rome, sous le règne de Numa (en l'an 44 de la fondation de la ville), une pierre en forme bouclier tomba du ciel. Les augures furent consultés. Ils déclarèrent que le destin de la ville naissante était lié à la conservation du bouclier céleste. Numa fit exécuter par un ouvrier habile onze boucliers absolument semblables, afin de déjouer les mauvais desseins de ceux qui tenteraient de s'en emparer. On donna à ces boucliers le nom d'Anciles, d'un mot grec signifiant courbe, parce qu'ils étaient échancrés latéralement de façon à être plus larges vers leurs extrémités qu'à leur partie moyenne. Ces anciles étaient déposés dans le temple de Mars, sous la garde de douze prêtres appelés saliens (de salire signifiant sauter, ou sallare signifiant danser), parce que chaque année, le 1er mars, ils parcouraient la ville portant au bras les boucliers sacrés et exécutant, au son des instruments de musique, des danses et des chants solennels. Pendant les trois jours que durait cette fête, on ne pouvait ni se marier, ni entreprendre quelque chose d'important. On raconte que Veterius Mamurius, l'ouvrier qui fabriqua les anciles, refusa tout salaire, en demandant seulement que son nom fut mentionné dans les hymnes que chantaient les prêtres de Mars. Nous savons aujourd'hui que cette pierre était un météorite, un aérolithe, au même titre que la pierre noire tombée en Grèce et qu'on adorait sous le nom de Cybèle. Le mois de mars renferme souvent deux fêtes religieuses. La première, l'Annonciation, fut instituée en mémoire de la nouvelle que l'ange Gabriel vint donner à Marie, qu'elle concevrait le fils de Dieu. ------------------------------------------------------------------------------------- Morphée Dans la mythologie grecque, Morphée est une divinité onirique. Il est pour certains, le fils d'Hypnos (le Sommeil) et de Nyx (la Nuit), et selon d'autres l'un des mille Oneiroi engendrés par Nyx seule. Il a pour vocation d'endormir les mortels. Il est représenté avec des ailes battant rapidement et silencieusement, qui lui permettent de voler. Pour se présenter aux mortels, il se transforme en êtres chers (d'où son nom venant du grec morphè signifiant « forme »), permettant aux mortels l'espace d'un instant de sortir des machinations des dieux. Il joue un rôle important dans l'histoire d'Alcyone et Céyx. On le retrouve notamment dans l'œuvre d'Ovide et d'Homère. Il fut foudroyé par Zeus pour avoir communiqué des secrets aux mortels. ------------------------------------------------------------------------------------- Odin C’est le dieu en chef de mythologie nordique. Dieu de ciel, il a vécu dans Asgard, au sommet de l'arbre du monde. Deux corbeaux, Hugin (la pensée) et Munin (la mémoire) étaient perchés sur les épaules d'Odin, il les envoyait dès l'aurore pour qu'ils lui rapportent tout ce qu'ils voyaient et tout ce qu'ils entendaient de par le vaste monde. C'est aussi la raison pour laquelle Odin était nommé Hrafnagud, le dieu aux corbeaux. Il est pareillement le dieu de la guerre et de la mort, mais aussi le dieu de la sagesse, de la magie (seid), des poèmes et des runes. Odin est le plus sage et le plus respecté de tous les dieux. C’est un grand orateur et un grand courtisan des femmes. Il exprime ses pensées en vers. Il a engendré Ask et Embla, les deux premiers êtres humains. Odin habite le Val-halla, séjour des guerriers morts en héros. On les appelle « Einherjars » (les combattants). Lors des batailles, Odin porte une armure et un casque en or. Odin chevauche son cheval, Sleipnir, à huit pattes. Odin a sacrifié l’un de ses yeux à Mimir pour avoir accès à la source de connaissance. Odin peut se transformer en n’importe quel être afin de tromper son ennemi Avec sa lance, Gungne, il tue ses ennemis en la jetant au-dessus de leurs têtes. Gjere et Freke sont les deux loups d’Odin. Odin s’est sacrifié spirituellement en se transperçant mortellement avec sa propre lance sur laquelle il est resté accroché neuf jours et neuf nuits à Yggdrasill. Les runes lui ont été dévoilées pendant qu’il restait accroché à l’arbre. Il est ressuscité du royaume des morts en utilisant ces runes. On estime qu’Odin est à l’origine des runes qu’il a offertes aux hommes. Odin et Freyia sont considérés comme les premiers représentants du ‘Seid’ – le chamanisme nordique. Parents : Bestla et Burr Epouses :* Frigg : Balder, Hoder, Hermod, Bragi, Tyr * Iord :Thor * Grid : Vidar Rind(a) : Vali,Bous
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| Sujet: suite et fin Mar 2 Mai - 16:03 | |
| Perséphone Perséphone ou Proserpine chez les Romains est la déesse des Enfers et la femme d'Hadès. Elle est la fille de Déméter et de Zeus. On l'appelait aussi Coré ou Cora. Les romains l'identifièrent à Proserpine. Elle fut enlevée par Hadès, avec la complicité de Zeus, alors qu'elle était en train de cueillir des fleurs en compagnie de nymphes dans la plaine d'Enna (Sicile). Déméter la chercha partout sur la terre et déchaîna une grande famine. Zeus fut alors obligé de tenter une réconciliation et ordonna à son frère de rendre Perséphone à sa mère avant que la terre entière ne soit morte de faim. Il envoya Hermès porter le message à Hadès. Ce dernier fut d'accord à condition qu'elle n'ait pas encore goûté de la nourriture des Morts. Et comme Perséphone n'avait rien mangé depuis son enlèvement, Hadès, contraint de dissimuler son dépit, la renvoya vers sa mère. Les larmes de Perséphone cessèrent de couler. Mais juste au moment où elle se mettait en route pour Eleusis, un des jardiniers d'Hadès, du nom d'Ascalaphos, témoigna qu'il l'avait vu cueillir une grenade et en manger sept grains. Perséphone avait mangé la nourriture des Enfers. Zeus proposa que Perséphone passe six mois de l'année aux Enfers et six mois sur la terre. Elle tomba amoureuse d'Adonis qui dut lui aussi partager son temps entre la terre et les Enfers. Elle formait avec Déméter le groupe des "grandes déesses", adorée à Eleusis. ------------------------------------------------------------------------------------- Thor Dieu du tonnerre, colérique, Thor est le fils d’Odin, le chef des dieux. Il possède un marteau magique appelé Mjöllnir ainsi qu’une paire de gant permettant de pouvoir tenir le manche brulant de son arme. Ce dieu accroche son marteau à une ceinture elle aussi magique qui décuple ses forces. Thor est un grand combattant des géants de glace, ce qui peut sembler étrange au vu de sa taille et des ses traits semblables à un géant. Deux boucs tirent son char à travers le ciel lorsqu’il se déplace fréquemment pour aller se battre. Il aime particulièrement les jeux de force où il peut exhiber ses pouvoirs. Il considéré comme étant le dieu le plus puissant d’entre tous. Il était un ami de Loki qui ne montrait pas encore son véritable visage et se contentait de quelques farces de très mauvais goût. Loki entraîna Thor dans des aventures très souvent désastreuses qui les confronta de nombreuses fois devant la mort. Au Ragnarök, il sera tué par le venin du fils de Loki : le terrible Jormungandr qui périra à son tour. ------------------------------------------------------------------------------------- Thot Il est représenté comme un homme à tête d'ibis, au plumage blanc et noir, ou comme un babouin hamadryas. Dieu égyptien à caractère lunaire ; à Hermopolis il était la divinité suprême ; il avait le corps d’un homme et la tête d’un ibis, parfois d’un singe, et portait sur la tête le croissant de lune. Vénéré comme le dieu de la parole créatrice, de l’écriture et du calcul, et considéré comme le scribe des dieux et la mesure du temps, il était le protecteur des scribes ; en outre, dans l’au-delà il était préposé à la psychostasie. Il jouait un rôle important lors du jugement dernier, durant la cérémonie de la pesée du cœur. Il était chargé de l’écriture, de la lecture, des mathématiques et de toutes les occupations ayant trait à la culture et à la profession de scribe. A travers sa connaissance des hiéroglyphes il contrôlait également la magie et les magiciens. Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux. Lors de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire du bien sur le mal. Porté sous forme d'amulette, il rendait invincible et apportait la clairvoyance. | |
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